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Labo Commun - Carnet de bord #4

Le 5 novembre 2020, notre groupe de travail se retrouve pour continuer à définir ensemble les contours du Labo commun de PiNG.

Définir les parties prenantes

Après avoir exploré les divers champs de recherche collective et au-delà, comme autant de sources d’inspirations pour le labo commun de PiNG, nous avons souhaité entrer dans le vif du sujet. Lors de ce temps de travail, l’idée était de pouvoir échanger sur une des composantes du labo commun qui contribue à le définir: ses parties prenantes. Voici ce que nos brainstorms ont donné.

quipropose_labocommun-1_png
quiparticipe_labocommun-1_png
quianime_labocommun-1_png
quiebeneficie_labocommun-1_png
quisoutientlabocommun-1_png

Labo commun ?

Au fil des échanges autour des parties prenantes, nos discussions ont dérivé vers la notion de « labo commun » et ce que chacun·e d’entre nous mettait derrière. En voici le verbatim principal:

"aujourd’hui dans les ateliers le commun ce sont des outils mais utilisés pour faire des choses pour toi"
"PiNG = labo où tu viens chercher, explorer, tester, prototyper, expérimenter"
"commun = contrat car tu viens aussi pour partager des choses, mettre en commun"
"questions des labos communs comme labo social où on peut monter en compétences/connaissances et savoir se positionner"
"le laboratoire peut-être technique si nos laboratoires sont dans nos ateliers (ex pile microbienne)"
"2 choses : contrat simple pour inclure des gens dans l’exploration et le groupe explorer (ex enquêtes collectives) / un autre aspect est de vouloir intégrer également une approche sensible"
"la complexité est de promouvoir la collaboration en réseau et créer un labo commun qui serait un repli sur soi"
"le labo commun c’est la production de savoirs en communs avec plusieurs scénarios possibles"

C’est cette dernière phrase qui retiendra notre attention comme baseline possible du labo commun de PiNG.

On peut observer dans le déroulé de ce temps de travail du 5 novembre que le souhait de définir le labo commun, composante par composante, n’était probablement pas la bonne entrée, au vu des dérives et détours qu’ont pris nos échanges. L’avantage de ce groupe de travail est de ne pas se figer sur le process mais d’adapter le cadre au fur et à mesure tout en veillant à ce que ces dérives nous permettent toujours d’avancer ensemble à mieux définir le labo commun de PiNG.

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